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Hibou des marais (côte picarde)
Les hiboux des marais ont arrivés courant novembre sur la côte picarde. J'ai fait un petit repérage et j'en ai dénombré 6. J'avais pris l'appareil au cas où mais la lumière n'était pas fameuse. Il aurait fallu y aller ce mercredi matin par -5°C avec de belles ambiances de givre mais ma voiture au garage en a décidé autrement.
Ce n'est que le début de l'hiver. A bientôt les amis !
Chouettes effraies juvéniles (Marquenterre)
Retour sur le dernier affût aux chouettes effraies dans le vieux et beau saule têtard. Le soleil a percé au travers des nuages. Je vous montre les photos de la même série mais avec un peu plus de lumière. Avec la forte luminosité, les chouettes ont du mal à garder leurs yeux ouverts.
Quand un nuage passe, les chouettes ouvrent petit à petit leurs yeux pour mon plus grand bonheur.
La petite fratrie au complet.
Épouillage et lissage de plumes.
Le vieux saule tout en majesté.
Désolé si l'image parait complètement floue, cela a l'air dû à overblog.
Bye.
Héron cendré, grande aigrette et aigrette garzette (étang de la Bassée)
Les habituels de l'étang de la Bassée, des échassiers d'ordinaire farouches qui se laissent approcher, habitués qu'ils sont à la présence des promeneurs.
Ici, un héron cendré.
Le héron a écarté ses ailes pendant de longues minutes tel un grand cormoran faisant sécher ses ailes.
Héron cendré et aigrette garzette. Cette dernière a dû quitter les lieux quand le héron est arrivé.
Grande aigrette. Le soleil est déjà haut, la luminosité vive. Faire des photos de cet oiseau au plumage immaculé est plus que délicat dans ces conditions.
Cygne tuberculé (Baie de Somme)
Un cygne tuberculé a été expulsé d'une pâture par des vaches pas très loin de l'étang de la Bassée d'après un témoin de la scène. J'ai d'ailleurs vu une plume du cygne accrochée aux barbelés. Il ne sait pas trop où aller et stationne sur la route. Nullement impressionné par les voitures, il reste stoïque, obligeant les véhicules à la contourner en roulant sur le bas-côté !
Chouettes effraies juvéniles (Marquenterre)
Je suis de retour près du vieux saule têtard où deux jeunes chouettes effraies ont vu le jour. Les rapaces sont très discrets et craintifs. Au moindre mouvement, les chouettes se réfugient au fond de l'arbre creux. L'environnement du lieu rend un affût très délicat. Je reste néanmoins un court moment à une heure et un jour propice pour ne pas être repéré des bipèdes qui sont le danger le plus certain pour ces chouettes. Comble de bonheur, les deux chouettes sortent ensemble du tronc pour observer ce nouvel élément du décor. Je suis aux anges. Et cette fois, j'ai pris mon 70-200mm pour le plan large.
C'est la chouette effraie blanche qui occupe le poste le plus en évidence cette fois-ci.
La chouette effraie en phase rousse assure le poste de vigie un peu plus au-dessus.
La lumière se fait de plus en plus vive et notre chouette commence à plisser les yeux.
Dans quelques instants, les chouettes descendront au fond de l'arbre creux et je quitterai les lieux enchanté.