pie bavarde
Dans un sous-bois du Marquenterre (Somme)
La pie bavarde, un oiseau très commun mais très difficile à photographier car très farouche. Le moindre mouvement d'objectif la fait décamper. Il faut attendre patiemment que le pie vienne se poser à l'endroit voulu.
Pic épeiche par le bois vermoulu attiré.
Rouge-gorge familier.
Bruant jaune attiré grâce à des grains de blé dont il est très friand.
Faisan de Colchide. Le sous-bois non chassé est envahi cette année de faisans mâles, une bonne demi-douzaine. cela laisse augurer je l'espère de belles parades et combats au printemps prochain.
Accenteur mouchet.
Pie bavarde, mésange nonnette, pinson du nord (Marquenterre)
J'ai déposé de la margarine derrière ce perchoir dans l'espoir d'attirer un pic épeiche. Finalement, c'est un couple de pies bavardes qui vient, chassant au passage tous les geais qui passent à la ronde. Dommage que la pie, toujours aussi farouche et détectant le moindre mouvement d'objectif, ait pris au moment où son plumage ressortait le mieux, un gros bout de magarine ! On peut néanmoins bien voir les belles nuances de bleu et de vert des ailes et de la queue.
C'est la première fois que je pouvais observer le comportement entre geais et pies. Les deux espèces appartiennent à la famille des corvidés et se déplacent souvent par paire. Dès que des geais tentaient d'accéder à la mangeoire, les pies rappliquaient instantanément pour les en déloger.
La très mobile mésange nonnette. Une performance de pouvoir la prendre en photo.
Rouge-gorge familier.
Pinson du nord mâle.
Pie bavarde (Marquenterre)
Encore une rencontre imprévue ! J'étais venu pour le pic vert. J'ai ramené de mon périple de l'Aisne (où j'ai pu observer un cerf) une belle souche vermoulue. J'attends l'arrivée du vert galant mais c'est la pie qui fait son apparition ! Alors là, je suis soufflé. Ça n'a l'air de rien, une pie. On en voit pléthore sur le bord des routes mais c'est un oiseau très intelligent et très difficile à photographier. Je peux dire que j'ai passé des jours et des jours dans cet affût sans jamais voir une pie ni une corneille se poser. Quelle n'est pas ma surprise d'en voir une se poser à moins de 15 m de moi, ne pas s'envoler quand je déplace délicatement mon objectif vers elle, et ne pas fuir au bruit du déclenchement.
Le corvidé reste et revient même plusieurs fois, un vrai festival !
Pie bavarde (Grésivaudan)
Voici le premier article d'une série qui va nous emmener loin de la Picardie, dans les contreforts des montagnes des Alpes. Il n'est jamais trop facile de prendre une pie en photo (excepté dans les parcs où elle est habituée à la présence humaine). Ici, je suis planqué derrière une fenêtre et la pie vient se percher dans un poirier pour dérober un fruit à peine mûr. On voit bien les dégradés verts et bleus du plumage.
Côté face.
Pie bavarde, perdrix grise (dans une pâture près d'Amiens)
Affût dans une pâture où je cherche à photographier une espèce d'oiseau que j'espère pouvoir vous montrer ultérieurement. Je n'ai pas grand-chose à me mettre sous la dent si ce n'est une pie bavarde qui vient se percher dans la haie d'épines.
Ce n'est pas l'oiseau que j'attendais mais photographier une pie est suffisamment difficile pour ne pas me laisser l'impression de rentrer bredouille.
Un peu plus tôt dans le brouillard matinal, un couple de perdrix grises est venu me rendre visite. J'ai même loupé le coche : après avoir installé mon affût, le couple est venu en trombe en ma direction en passant à moins d'1 m de ma tente! Je n'ai rien vu venir et n'ai pu contempler la scène qu'avec mes yeux.
Monsieur est dressé et Madame est derrière.
Bye.
Pie bavarde, corneille noire (Haut-Jura)
Ce n'est qu'au bout de 5 jours (!) qu'une pie bavarde vient se poser sur un piquet quand les milans noirs se sont posés le premier jour. Je suis très excité car les corvidés sont très méfiants. La pie était postée juste au-dessus de moi dans l'épicéa, a survolé mon affût et est venue se poser à 10 m de moi sur le piquet que j'avais installé pour les rapaces.
C'est la première fois que je peux en photographier une d'aussi près. La lumière est maussade mais je suis rudement content.
Malgré la lumière blafarde, on peut apercevoir quelques unes des nuances vertes et bleues du plumage de la pie.
La pie vient provoquer un milan noir sur la cime de l'épicéa avec force cris et gesticulations. Ce dernier n'en a cure et détourne le regard.
Finalement, la pie replonge au sol.
Presque plus fort que la pie bavarde, voici une corneille noire qui s'invite au banquet. J'espérais secrètement un grand corbeau mais je me contente largement de cet oiseau si commun mais si difficile à photographier. Je l'ai vu manger en compagnie de milans sans bagarre.
Encore plus effrayante avec ce regard bleuté.
Croassements au petit matin.
La sentinelle des brumes.
Demain, suite et fin du périple jurassien.